Le 1er janvier 2016, alors que Monsieur G. tentait de protéger son frère d’une agression, il était lui aussi victime de violences aggravées par deux circonstances : en réunion et avec arme, ayant entrainées une ITT supérieure à 8 jours.
Ce soir-là, Monsieur G. est son frère se rendaient à la discothèque La Plage pour y fêter la nouvelle année.
Aux abords de la discothèque, le frère de Monsieur G fut pris à parti par un individu qui se mit à lui porter des coups.
Alors que Monsieur G venait en aide à son frère, un groupe de quatre individus se jetait sur eux et les frappait.
C’est dans ces conditions que Monsieur G. reçut :
Monsieur G. était alors hospitalisé dans le service des urgences du CHU de Bordeaux Pellegrin, pour :
A ce titre, le médecin urgentiste fixait l’ITT pénale à 10 jours.
Plus tard, Monsieur G. déposait plainte contre les agresseurs pour ces faits.
Le cabinet agissait alors auprès de la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI).
Ainsi, par une ordonnance du 22 décembre 2017, la CIVI faisait droit à la demande de Monsieur G. et à ce titre :
Le 30 août 2018, la procédure faisait l’objet d’un classement sans suite.
En effet, les investigations ne permirent pas d’aboutir à la reconnaissance des auteurs malgré l’exploitation de la vidéo surveillance des lieux le soir des faits.
Cependant, le 11 décembre 2020, grâce à la décision du cabinet d’exercer une action auprès de la CIVI, le Fonds de Garantie des victimes des actes de Terrorisme et d’autres Infractions (FGTI) acceptait d’indemniser le préjudice de Monsieur G.
En l’espèce, il offrait notamment d’indemniser le client à hauteur de :
Finalement, Monsieur G. recevait la somme de 16.678,63 euros.en réparation de tous les dommages résultant des faits.
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