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🔴 Affaire Chahinez : un féminicide qui aurait pu être évité

  • Photo du rédacteur: Julien Plouton - Avocat à la Cour
    Julien Plouton - Avocat à la Cour
  • 20 mars
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 sept.

Du 24 au 28 mars 2025, le procès de Mounir Boutaa, meurtrier de Chahinez Daoud, se tiendra devant la cour d’assises de la Gironde. Me Plouton est l'avocat de la famille Chahinez.

 

Un crime d’une violence inouïe : Les modalités du passage à l’acte de l’accusé vont bien au-delà de l’intention homicide et caractérisent un sur meurtre. Le déchainement et l’utilisation de plusieurs types de violences (coups de feu/crémation) s’inscrivent dans une volonté d’anéantir, d’effacer physiquement et symboliquement sa victime.

 

"Tous les voyants étaient au rouge." – Me Julien Plouton, avocat de la famille, était invité dans l’émission Sept à Huit sur TF1 le dimanche 9 mars pour évoquer les failles de l’enquête qui ont conduit à ce féminicide. Il pointe l’importance cruciale d’une écoute attentive des victimes et d’un travail spécifique d’investigation visant à identifier les profils les plus dangereux.




 

L’emprise et le contrôle coercitif – Bien avant le passage à l’acte, Chahinez vivait dans la peur et subissait une emprise et un contrôle destructeur : violences, menaces, surveillance, isolement, privation de liberté, instrumentalisation des enfants. Ces mécanismes de domination sont le terreau des féminicides. Ils doivent désormais être connus du plus grand nombre pour protéger les femmes et les enfants qui en sont victimes avant qu’il ne soit trop tard !

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