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Droit de la famille - Avocat Julien Plouton

Cabinet Plouton /

Avocat droit de la famille

Le droit de la famille, ce n’est pas seulement des textes et des procédures : c’est ce qui protège vos liens les plus intimes — couple, enfants, patrimoine. Derrière chaque dossier, il y a une histoire de vie, souvent chargée d’émotion et d’enjeux décisifs.

Notre rôle : transformer ces moments de fragilité en décisions claires, sécurisées et justes. Divorce, garde des enfants, partage des biens, urgences familiales… nous plaçons l’humain au centre de la stratégie juridique, avec une seule priorité : défendre ce qui compte le plus pour vous.

 Le couple : anticiper et se protéger

Liquidation et partage de l’indivision (PACS / concubinage)

Même sans mariage, un couple peut investir ensemble dans un bien immobilier. Lors de la séparation, il faut régler la question du partage de ce bien. Le Cabinet Plouton vous accompagne pour :

  • déterminer les créances entre concubins ou partenaires de PACS,

  • calculer l’indemnité d’occupation du logement commun,

  • procéder au partage équitable (vente, rachat de part, désintéressement).
     

Nous veillons à défendre vos droits patrimoniaux tout en favorisant des solutions amiables lorsque c’est possible.

Vous êtes marié(e) ? Découvrez notre accompagnement dédié au divorce et au partage des biens. 

Protection face au conjoint ou partenaire violent

Lorsqu’une situation de violences conjugales apparaît, il est essentiel d’agir vite. Notre cabinet met son expertise pénale et familiale au service des victimes, avec une prise en charge complète et humaine.

L’ordonnance de protection : les étapes essentielles

Nous vous assistons dès la rédaction de la requête et jusqu’à l’audience devant le juge, généralement fixée sous sept jours.
Grâce à la réactivité du cabinet et à une préparation rigoureuse, une décision peut être rendue sous quinze jours lorsque le dossier est complet.

Nos avocats vous aident à constituer un dossier de preuves solide (plaintes, témoignages, certificats médicaux, photos, vidéos) pour démontrer le danger actuel et vraisemblable.
 

Le juge peut alors ordonner :

  • l’interdiction de contact ou d’approcher certains lieux,

  • la suspension de l’autorité parentale,

  • l’attribution gratuite du logement, voire le maintien du paiement par le conjoint violent.

Accompagnement pénal et expertise spécifique

Nous vous accompagnons également dans la procédure pénale : dépôt de plainte, audience, constitution de partie civile, représentation en cas de féminicide ou de contrôle coercitif.

 

 Pour les violences dans le cadre d’un mariage, découvrez notre accompagnement en divorce pour faute ou violences. (CTA page divorce)

Les enfants : garantir leur sécurité et leur équilibre

L’autorité parentale

L’autorité parentale regroupe les droits et devoirs des parents dans toutes les décisions importantes : éducation, santé, scolarité, suivi psychologique, choix religieux, nationalité.

Le Cabinet Plouton intervient :
 

  • en cas de désaccord grave entre parents (ex. choix d’école, déménagement, soins médicaux),

  • lors d’une demande de retrait ou suspension de l’autorité parentale (violences, abus, abandon),

  • pour une délégation (ex. aux grands-parents si les parents sont absents ou défaillants).
     

Nous défendons toujours l’intérêt supérieur de l’enfant, dans un cadre juridique stable et protecteur.

Droit de visite et d’hébergement

Chaque situation familiale est unique. Nous vous aidons à définir ou adapter :
 

  • la résidence alternée,

  • la résidence principale avec droit de visite classique,

  • le droit de visite médiatisé si la protection du mineur l’exige.
     

Au pénal, nous intervenons également en cas de non-représentation d’enfant ou d’enlèvement parental, pour défendre vos droits et préserver la stabilité de l’enfant.

Pension alimentaire

La pension alimentaire est fixée selon : les besoins de l’enfant, le lieu de résidence et les revenus de chaque parent.
 

Le cabinet vous accompagne pour :

  • calculer la pension, à l’amiable ou devant le juge,

  • réviser son montant si votre situation évolue,

  • recouvrer les sommes impayées (saisie sur salaire, recouvrement forcé),

  • agir au pénal en cas d’abandon de famille.

Enfant en danger – saisine du juge des enfants

Quand la santé, la sécurité ou le développement d’un mineur sont menacés, le juge des enfants peut ordonner des mesures de protection. La procédure est rapide et les décisions sont prises pour une durée de 6 mois ou 1 an, renouvelable après réévaluation de la situation.
 

  • Mesure d’investigation éducative (MIE) : évaluation approfondie de la situation familiale (ex. avec l’OREAG) pour éclairer la décision du juge.
     

  • AEMO (Accompagnement Éducatif en Milieu Ouvert) : suivi par un éducateur de l’ASE, soutien à la parentalité, objectifs concrets et bilans réguliers.
     

  • Placement (famille d’accueil ou établissement) si nécessaire, avec droits de visite encadrés et travail préparé de retour au domicile dès que les conditions de sécurité sont réunies.

Dans ces situations, le Cabinet Plouton saisit le juge ou répond aux signalements, prépare le dossier (éléments factuels, attestations, bilans), vous représente à l’audience et veille à ce que les mesures soient proportionnées, révisables et centrées sur l’intérêt supérieur de l’enfant.

L’accompagnement du Cabinet Plouton : amiable ou contentieux

L’approche amiable : négociation, notaire, convention parentale

Lorsque le dialogue reste possible, nous privilégions l’amiable : une voie plus rapide, moins conflictuelle et durable. Notre rôle est de sécuriser juridiquement vos accords tout en préservant les liens familiaux.

Notre méthode, étape par étape :

  • Cadrage des besoins : clarification des objectifs patrimoniaux et parentaux (logement, répartition des charges, organisation des enfants).
     

  • Échanges et négociation entre avocats : propositions écrites, réunions de travail, recherche d’un équilibre concret et opposable.
     

  • Actes patrimoniaux chez le notaire : accompagnement pour le partage de biens, soulte ou désintéressement, afin de formaliser un accord clair et sécurisé.
     

  • Convention parentale : rédaction précise (autorité parentale, résidence, droit de visite, pension) puis dépôt/homologation devant le JAF pour lui donner force exécutoire.
     

  • Sécurisation et suivi : check-list de pièces, calculs (barème de référence pour la pension), et ajustements possibles en cas d’évolution de la situation.
     

Objectif : une solution apaisée, solide et immédiatement applicable, qui protège vos droits et l’intérêt supérieur des enfants.

L’approche contentieuse : requête et audience

Quand l’accord est impossible ou qu’une situation l’exige, nous saisissons le juge pour faire trancher le litige rapidement et protéger vos droits (et ceux de vos enfants). Notre méthode, étape par étape :
 

  • Analyse juridique & preuves : cadrage du dossier, collecte des pièces utiles (revenus, charges, attestations, éléments relatifs aux enfants…).

  • Saisine du juge compétent :

    • JAF pour les questions relatives aux enfants (autorité parentale, résidence, droit de visite, pension), par requête ;

    • Tribunal judiciaire pour les questions patrimoniales (partage, désintéressement, indemnité d’occupation), par assignation.
       

  • Échanges d’écritures : rédaction de conclusions motivées et communication des pièces adverses, jusqu’à stabiliser les demandes.

  • Audience & décision : plaidoirie ciblée, défense des intérêts en factuel et en droit ; obtention d’un jugement exécutoire.

  • Exécution & suivi : mise en œuvre pratique (signification, recouvrement, saisie sur rémunération si besoin), ajustements en cas d’évolution.
     

En cas d’urgence :
 

  • Procédure à bref délai (assignation + requête de fixation) pour obtenir une audience accélérée (violences, danger pour un enfant, logement, impayés critiques).

  • Possibilité de mesures provisoires pour sécuriser la situation dans l’attente de la décision au fond.
     

Objectif : une défense rigoureuse, réactive et lisible, pour des décisions applicables tout de suite et conformes à l’intérêt supérieur de l’enfant.

Tutelles et curatelles

Le cabinet intervient également pour la protection juridique des majeurs vulnérables :

  • ouverture, modification ou contestation d’une tutelle ou d’une curatelle,

  • désignation du tuteur ou du curateur,

  • suivi de l’exécution des mesures.

Nous accompagnons les familles dans la constitution du dossier et veillons à la transparence et au respect des droits de la personne protégée.

Je prends rendez-vous
maintenant !

Les rendez-vous sont pris dans les 7 jours. En cas d’urgence, le rendez-vous peut être immédiat et même en dehors des horaires habituels du cabinet.

Horaires d'ouverture Cabinet Plouton

Le cabinet Plouton est ouvert de 9h00 à 19h30, du lundi au vendredi.

Contact téléphonique

05 56 44 35 96

Adresse du cabinet principal

45 Cours d'Alsace-et-Lorraine
33000 Bordeaux

Fonctionnement du cabinet

Nous vous invitons à nous contacter en priorité par le biais du formulaire, en nous laissant vos coordonnées téléphoniques. Un avocat prendra ensuite contact avec vous en fonction de la nature de votre demande.

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Foire Aux Questions / Droit de la famille

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Couple et unions non mariées

PACS et concubinage : quels droits en cas de rupture ?

Contrairement au mariage, le PACS et le concubinage offrent moins de protection en cas de rupture. C'est important de le savoir pour éviter les mauvaises surprises. Le PACS crée quelques droits et obligations. En cas de rupture, les biens achetés ensemble sont partagés selon la contribution de chacun (sauf si vous avez prévu autre chose dans la convention). Mais il n'y a pas de prestation compensatoire comme dans le divorce. Si vous avez des enfants ensemble, les règles de garde et de pension alimentaire sont les mêmes que pour les couples mariés. Le concubinage (union libre) ne crée pratiquement aucun droit. Chacun repart avec ce qui lui appartient. Pour les biens achetés ensemble, il faut prouver qui a payé quoi. C'est souvent compliqué et source de conflits. Dans les deux cas, si vous avez acheté un logement ensemble, la situation peut se compliquer. Qui reste ? Qui part ? Comment se fait le rachat de part ? Ces questions méritent d'être anticipées. Notre conseil : même en PACS ou en concubinage, pensez à protéger vos intérêts. Gardez les preuves de vos achats, rédigez des conventions si nécessaire. Et si la rupture se passe mal, n'hésitez pas à consulter un avocat pour faire valoir vos droits, notamment concernant les enfants.

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Divorce et séparation

Quels sont les différents types de divorce (consentement mutuel, pour faute, etc.) et comment choisir la procédure la plus adaptée à ma situation ?

Le choix de la procédure de divorce est une décision importante qui dépend de votre situation et de votre relation avec votre conjoint. Voici les options, simplement expliquées : Le divorce à l'amiable (par consentement mutuel) : C'est la solution la plus simple et la plus rapide. Si vous êtes d'accord sur tout (le principe du divorce, le partage des biens, la garde des enfants...), vous pouvez divorcer sans passer devant un juge. Chaque époux doit avoir son propre avocat pour garantir l'équité de l'accord. Les divorces contentieux : Si vous n'êtes pas d'accord, il faudra passer par un juge. Il existe trois cas de figure : Divorce accepté : Vous êtes d'accord pour divorcer, mais pas sur les conséquences (la garde, l'argent...). Le juge tranchera ces points. Divorce pour faute : Si votre conjoint a commis une faute grave (violence, infidélité...), vous pouvez engager cette procédure. C'est souvent plus long et plus conflictuel. Divorce pour altération définitive du lien conjugal : Si vous vivez séparés depuis au moins un an, vous pouvez demander le divorce, même si votre conjoint n'est pas d'accord. Le bon choix dépend de votre situation personnelle. Un avocat est là pour vous aider à y voir plus clair, à peser le pour et le contre de chaque option, et à choisir la voie la plus sereine pour vous et votre famille.

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Divorce et séparation

Quel avocat choisir pour son divorce ?

Choisir son avocat pour un divorce est une étape cruciale. C'est la personne qui va vous accompagner, vous conseiller et vous défendre pendant une période souvent difficile de votre vie. Au-delà de la compétence technique, qui est indispensable, l'important est de trouver un avocat avec qui vous vous sentez en confiance. Vous devez pouvoir tout lui dire, sans crainte d'être jugé. L'écoute, l'empathie et la disponibilité sont des qualités essentielles. Un bon avocat en droit de la famille ne se contente pas de connaître la loi. Il connaît aussi la vie. Il sait que derrière chaque dossier, il y a des enjeux humains, des émotions, des inquiétudes. Il saura vous expliquer les choses simplement, vous rassurer, et vous aider à prendre les meilleures décisions pour vous et votre famille. Chez nous, nous avons à cœur de construire une vraie relation de confiance avec nos clients. Nous prenons le temps de vous écouter, de comprendre votre histoire, et de définir avec vous la stratégie la plus adaptée. Parce qu'un divorce bien accompagné est un divorce mieux vécu.

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Divorce et séparation

Faut-il faire appel à un avocat ou à un notaire lors d’un divorce à Bordeaux ?

C'est une question que beaucoup se posent, et la réponse dépend du type de divorce que vous envisagez. Mais une chose est sûre : l'avocat est obligatoire dans tous les cas de figure. Pour un divorce à l'amiable, vous avez besoin de deux avocats (un pour chaque époux) et d'un notaire. Les avocats rédigent la convention de divorce, et le notaire la dépose pour lui donner force exécutoire. C'est un travail d'équipe. Pour un divorce contentieux, l'avocat est votre seul interlocuteur obligatoire. Il vous représente devant le juge et défend vos intérêts. Le notaire n'intervient que s'il y a des biens immobiliers à partager. À Bordeaux, vous avez le choix entre de nombreux professionnels compétents. L'important est de trouver un avocat spécialisé en droit de la famille, qui connaît les spécificités locales et les habitudes du tribunal. Un bon avocat vous fera gagner du temps, de l'argent, et surtout vous évitera bien des tracas. Notre conseil : rencontrez plusieurs avocats avant de faire votre choix. Le feeling est important, car vous allez travailler ensemble pendant plusieurs mois. N'hésitez pas à poser des questions sur leur expérience, leurs honoraires, et leur approche de votre dossier.

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Divorce et séparation

Divorce : dans quel cas une prestation compensatoire est accordée ?

En droit français, la prestation compensatoire est une somme versée par un conjoint à son ancien époux ou épouse si son niveau de vie connaît un changement suite au divorce.

Plusieurs critères sont pris en compte, comme le patrimoine estimé après la liquidation du régime matrimonial, la situation professionnelle des époux, etc. La prestation compensatoire peut être demandée lors d’un divorce contentieux comme à l’amiable.

La demande d’une prestation compensatoire doit se faire au cours de la procédure de divorce. Il est impossible de faire la demande une fois le divorce devenu définitif.

Le juge aux affaires familiales calcule le montant de cette prestation selon plusieurs critères. Les époux peuvent également statuer sur un montant dans une convention.

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Divorce et séparation

Qui doit partir de la maison en cas de divorce ?

C'est souvent la première question qui se pose quand un couple décide de se séparer : qui reste dans le logement familial ? La réponse n'est pas toujours évidente et dépend de plusieurs facteurs. Si vous êtes propriétaires tous les deux, aucun ne peut expulser l'autre. Vous avez tous les deux le droit d'occuper le logement. Mais vivre ensemble en instance de divorce n'est pas toujours tenable... Il faut souvent trouver un arrangement à l'amiable ou demander au juge de trancher. Si vous êtes locataires, celui dont le nom figure sur le bail a plus de droits. Mais attention, si vous avez des enfants, le juge privilégiera souvent le parent qui en a la garde pour maintenir leur stabilité. En cas de violences conjugales, la situation est différente. Le conjoint violent peut être expulsé du domicile par ordonnance de protection, même s'il en est propriétaire. Le juge peut aussi attribuer temporairement le logement à l'un des époux pendant la procédure de divorce, en tenant compte de l'intérêt des enfants et de la situation de chacun. Cette décision peut être prise très rapidement en référé. Notre conseil : ne partez pas précipitamment du domicile conjugal sans réfléchir aux conséquences. Cela peut être interprété comme un abandon et jouer contre vous. Mieux vaut consulter un avocat avant de prendre une décision définitive.

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Enfants et filiation

Où résident les enfants mineurs suite à la séparation des parents après un divorce à Bordeaux ?

C'est l'une des questions les plus importantes et les plus angoissantes lors d'une séparation. La réponse dépend de votre situation et, avant tout, de ce qui est le mieux pour vos enfants. La garde alternée est une solution de plus en plus courante à Bordeaux, surtout si vous habitez près l'un de l'autre. L'enfant vit une semaine chez l'un, une semaine chez l'autre. Cela permet de maintenir un lien fort avec les deux parents. Sinon, on peut fixer la résidence habituelle chez l'un des parents. L'autre parent a alors un droit de visite et d'hébergement, le plus souvent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. L'important est de trouver un rythme qui soit stable et sécurisant pour l'enfant. Idéalement, c'est à vous, parents, de vous mettre d'accord. Si le dialogue est trop difficile, le juge aux affaires familiales décidera. Il écoutera vos arguments, et pourra même entendre l'enfant s'il est en âge de donner son avis. Sa seule boussole sera l'intérêt de l'enfant. Notre rôle, en tant qu'avocats, est de vous aider à trouver la solution la plus apaisée et la plus juste pour votre famille.

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